Que représente le corps dans le monde hispanique contemporain ? Contrôlé voire anéanti ou effacé par des régimes totalitaires, libéré jusqu’à l’excès par la fin de la censure, enjeu politique ou arme de communication, objet de préoccupations scientifiques ou sociales (pour le soigner, le reconstruire, le rajeunir, le modifier), le corps peut-il encore porter l’identité individuelle ou la mémoire collective ?
Pour en savoir plus
Cet ouvrage présente le résultat des réflexions engagées depuis 2015 par le réseau d’écoles doctorales Création, Art& Médias (Rescam) sur le doctorat de recherche en création, et concrétisées lors de deux colloques : le premier organisé à l’université Toulouse-Jean Jaurès en 2016, le second à la Sorbonne Nouvelle en 2017.
L’ouvrage collectif issu du séminaire « Arts (ou art) de chercher : l’enseignement supérieur face à la recherche-création », organisé par l’Université de Lyon en 2019, aborde la question des arts et de la création, de la recherche et de l’art dans les dynamiques des formations actuelles et de la recherche contemporaine, dans un grand nombre de domaines (lettres, arts, sciences humaines et sciences exactes).
Une analyse des actes technocritiques d’artistes, hackers et activistes de l’ère (post-)numérique. En proposant de « penser par l’art », l’ouvrage aborde différentes figures de cette désobéissance numérique à travers les œuvres de plusieurs artistes internationaux : Trevor Paglen (USA), Paolo Cirio (Italie, USA), Julien Prévieux, Benjamin Gaulon, Christophe Bruno, Samuel Bianchini (France), Bill Vorn (Canada), Disnovation (France, Pologne, Russie), HeHe (France, Allemagne, Royaume-Uni).